Descente monotone et laborieuse vers Logibar... Ce matin, ça commence fort : des passages boueux mais surtout des chemins obstrués de pierres glissantes m'empêchent de progresser normalement. Les pieds en compote, j’arrive sur le bitume, à quelques pas de l’auberge Logibar… où, faut-il le préciser, je me console en prenant un grand crème !
Logibar est le point de départ de l’ancien tracé du GR 10 que je compte emprunter. Ce « détour » d’une heure n’est pas dénué d’intérêt, il longe les gorges et le ruisseau d’Olhadubi… mais surtout, il y a la passerelle d’Holzarté qui les enjambe. Le site est d'une rare beauté. Des gorges, je remonte sur le plateau d’Ardakhotchia non sans observer de superbes chardons bleus (photo) et des Lys martagon.
Un peu avant le sommet, je m’installe à l’ombre d’une aubépine habillée de drapeaux de prières tibétains. Ces petites pièces de tissus rectangulaires sont souvent suspendues aux passages de cols et de sommets dans l'Himalaya et au Tibet… Je me mets à rêver que tous les cols de montagne soient ornés de tels rubans pour tisser la paix entre les humains de toutes les vallées du monde…
Le reste du parcours me pèsera car il emprunte longtemps un large chemin puis une route en bitume. Lorsque vers 17h00, j’aperçois au loin une bergerie et entends le murmure d’un ruisseau, je prie pour qu’il y ait un terrain plat pour bivouaquer car mes pieds n’en peuvent plus. YES ! Vite planter la tente et me décrasser car le ciel est menaçant…
Logibar est le point de départ de l’ancien tracé du GR 10 que je compte emprunter. Ce « détour » d’une heure n’est pas dénué d’intérêt, il longe les gorges et le ruisseau d’Olhadubi… mais surtout, il y a la passerelle d’Holzarté qui les enjambe. Le site est d'une rare beauté. Des gorges, je remonte sur le plateau d’Ardakhotchia non sans observer de superbes chardons bleus (photo) et des Lys martagon.
Un peu avant le sommet, je m’installe à l’ombre d’une aubépine habillée de drapeaux de prières tibétains. Ces petites pièces de tissus rectangulaires sont souvent suspendues aux passages de cols et de sommets dans l'Himalaya et au Tibet… Je me mets à rêver que tous les cols de montagne soient ornés de tels rubans pour tisser la paix entre les humains de toutes les vallées du monde…
Le reste du parcours me pèsera car il emprunte longtemps un large chemin puis une route en bitume. Lorsque vers 17h00, j’aperçois au loin une bergerie et entends le murmure d’un ruisseau, je prie pour qu’il y ait un terrain plat pour bivouaquer car mes pieds n’en peuvent plus. YES ! Vite planter la tente et me décrasser car le ciel est menaçant…
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